Bientôt  les résonnances francophones

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La Francophonie
«Une identité à défendre»
Madame, Monsieur,
A contre-courant de la vox-populi, je suis de ceux qui prétendent que « Migrer » est un droit naturel et fondamental, dans la vie d’un Homme. Mais à la condition de respecter les us et coutumes du pays qui assure l’accueil et donne l’espoir de mieux-vivre en paix et en toute sécurité. Apprendre sa langue est le premier outil…
Je suis un enfant de la Méditerranée, dont le coeur vacille entre toutes les origines qui font ce « bassin » aux identités diverses, aux caractères multiples et forts, aux savoirs qui ont fait les valeurs et les forces de ce Monde. Un homme de terrain qui arrive au terme de sa vie et sait le Monde d’aujourd’hui en perte de valeurs humaines, de valeurs fortes, d’une identité. Un Monde en quête de son destin…
Un homme d’expérience, conscient aussi que la moindre erreur de l’un de nos dirigeants politiques peut déclencher demain une troisième guerre mondiale.
Un acteur de la vie, humaniste reconnu, qui sait, pour l’avoir exprimé ici et là, que la Francophonie peut devenir demain l’élément révélateur d’une appartenance commune, le porte-drapeau d’un idéal fort fait d’un patrimoine culturel et historique à promouvoir et à défendre. Oui, une identité à préserver coûte que coûte autour d’une langue, le français, exprimée, à travers le Monde, par près de 300 millions d’âmes, sur les 5 Continents et dans plus de 30 pays.
La ville de Toulouse peut en être, chaque année, le phare, l’étendard derrière lequel peuvent s’annoncer les meilleures initiatives, prendre racine les plus fortes idées.
Pourquoi Toulouse ?
Pas simplement parce qu’elle est ma ville… Mais aussi et surtout parce qu’au fil des décennies, elle est devenue le carrefour où se sont retrouvées avec harmonie bon nombre d’immigrations. Hier, elles étaient Espagnoles, Italiennes, Arméniennes, Portugaises, Pieds noirs, Harkis, Polonaises, Britanniques, Allemandes, Grecques, Asiatiques, Roumaines… etc… Aujourd’hui en grand nombre Africaines…
Hier, des milliers d’hommes, de femmes, d’enfants, de toutes origines, de toutes confessions fuyaient les guerres, la famine, la maltraitance dans leurs propres pays d’origines…
Aujourd’hui, ce sont toujours les mêmes maux qui engagent à devenir apatride. Sans oublier la vie professionnelle qui impose, comme naguère, de s’installer où le mieux vivre est assuré.
Où est ma légitimité ?…
… Pour défendre un tel projet, relever un tel défi ? Celui de mettre au service des autres un idéal, une identité à défendre qui a animé toute ma vie active et continue à être pour moi une motivation de premier ordre. Oui, un rêve à partager, que je mène depuis toujours, ici et là, dans le Monde, avec à la clef différentes actions à dimensions humaines, culturelles, économiques et sociales, mais obligatoirement francophones, car tel est mon idéal et mon savoir.
J’aipour seul objectif de faire prendre conscience à nos contemporains,notamment à celles et ceux issus de l’immigration,de s’imprégner avec honneur de cette belle idée dont chacun se doit d’être l’ambassadeur: La Francophonie.
Car elle est, au-delà même de la langue, le français, le lien, le ciment porteur de valeurs de respect, de partage, de sagesse et de liberté que l’on se doit de défendre et de valoriser en permanence.
Ainsi ma sociétéF.I.D.«France International Développement»commemon «Association France Génération Plurielle» que je préside depuis plusieurs années, en sont lesrelais indispensablespour soutenir, ici et là, des actions à vocationscaritatives et promotionnelles pour notre pays et les pays affiliés à la Francophonie.
Avec notamment dans les années 90,la réalisation du SIACAM, Salon International des Arts et Cultures Méditerranéennes,en Egypte à Alexandrie… Ici,lacréation d’une ferme modèle, animée par des enfants handicapés. Là,un hôpital à équiper, ailleurs soutien d’une entreprise animée, là aussi, par de jeunes handicapés.En Afrique, en Asie, en Europe de l’Estet ailleurs,des donsde médicaments,de livres, de vêtements, de jouets, des soutiens en formationsprofessionnelles, des expositions, des partenariats économiques,etcetera…
Antoine de Saint Exupéry…
… Il sera la personnalité qui, lors de ces « Premières Résonances Francophones » sera mise à l’honneur, à travers quelques « Tables Rondes ». L’occasion aussi de fêter les 75 ans de la première édition du « Petit Prince ». A ce jour, le livre qui est le plus lu et le plus traduit dans le monde.
Madame, Monsieur, dans l’attente de vous de vous lire, je vous prie de croire en l’expression de mes sincères salutations.
André-Jérôme GALLEGO
Président
France International Développement
Les "Résonances Francophones"
Ce que je peux en dire aujourd'hui, tourne autour d’un souhait de toujours : celui d'essayer de mettre en place la réflexion de l'homme de terrain, que je suis… de l’Humaniste que j’essaie d’être, habitué à aller au-devant de l'Autre, pour essayer de défendre ce patrimoine unique que nous envient tant de Nations… Mais pas seulement…
… Mettre en avant et défendre un ressenti personnel qui voudrait que justement la Francophonie soit le ciment naturel qui relierait ici et là, certes dans le monde, des Femmes et des Hommes de bonnes volontés, mais aussi et surtout dans nos quartiers ferait prendre conscience d’un patrimoine culturel, historique et humaniste à préserver.
Une Langue à défendre, synonyme d’intégration, à mettre en évidence dans toutes nos initiatives. Car par nature, elle est la force principale à toute énergie nouvelle. Tout faire pour rassembler des hommes et des femmes autour de valeurs culturelles et humanistes, à promouvoir et à défendre, afin que la paix soit enfin parmi les Hommes… Que chacun devienne ici en nos frontières comme à l’extérieur, tout en restant dans le respect de l’Autre, le porte-drapeau, le premier défenseur de toutes ces valeurs, de cette identité.
Plus sûrement le rêve d’un homme de réflexion et de paix qui sait… qu’aujourd’hui, nos instances supérieures souhaiteraient soit nous faire entrer dans un ‘’universalisme’’ qui ferait qu’aucune origine ne serait porteuse de sens de valeurs, de forces intimes, de patrimoine à défendre… Un troupeau de moutons, quoi…
De l’autre, les défenseurs d’un ‘’particularisme’’ qui proposeraient au contraire de faire ressortir coûte que coûte les origines, les différences, les croyances etc… Pour autant de dangers de conflits, à l’état latent, qui ne manqueraient pas de nous menacer si on laissait faire les stratégies politiques, économiques ou les états d’âme des uns et des autres…
L’homme qui sait aussi… que s’il suffisait d’un baptême, d’une initiation voire d’une adhésion à la bibliothèque du quartier pour faire un Homme, cela se saurait. Il y a des êtres rares partout dans le Monde, au milieu d’autres ‘’peu recommandables’’ aussi… Encore faut-il faire reconnaître et valoriser les uns, comme dénoncer et lutter contre les autres. La Francophonie a un rôle à jouer, là aussi…
Les larmes d’un enfant de Toulouse, ne valent pas plus que les larmes d’un enfant du Sahel, d’Irak, de Lybie, de Syrie ou d’ailleurs…
Ne pas oublier quand même…
… Qu’il est une règle incontournable et quel que soit le domaine abordé. A savoir que si l’on veut concerner le plus grand nombre, avoir un espoir d’être écouté, suivi, il ne faut pas parler de projets pharaoniques ou de réussites reconnues à l’autre bout de la Planète…
Mais argumenter auprès de ces femmes, de ces hommes, de ces gamins, à partir d’éléments, de faits qui les concernent dans leurs quotidiens, leurs quartiers, leurs manières de vivre.
Oui, si l’on a le souhait d’engager le partage avec l’Autre, l’ambition de parvenir à changer ses repères, sa manière d’être, d’agir, son comportement dans telle ou telle circonstance, annihiler ses réserves, chasser les vieux démons, il faut proposer du concret, quasi applicable dans l’immédiat et qui va concerner le plus grand nombre.
Favoriser les uns et les autres, à s’ouvrir à la vraie vie : en pleine conscience et responsabilité… Démontrer qu’ils ont tout à gagner à tout savoir de notre pays, à apprendre notre belle langue, à tout connaître de celles et ceux qui ont fait le pays qui leur a ouvert les bras, sans aucune réserve. Une identité ne se donne pas. Elle se gagne…
Plus, leur faire prendre conscience qu’un jour prochain, ce savoir, ce capital culturel, technique, scientifique pourrait demain leur permettre justement de saisir une revanche sur le destin et d’avoir l’opportunité de s’épanouir dans leurs propres pays d’origine… Etre des exemples dans notre pays, comme pour leurs Frères restés au pays… Oui, les meilleurs Ambassadeurs que la France pourrait compter demain…
Oui, une prise de conscience, un épanouissement, synonymes tout simplement de respect et d’exemplarité auprès de l’Autre.
Mon constat, mon analyse… aussi
Ils sont qu’aujourd’hui si l’on prône et défend la Francophonie, ici ou là dans le monde, quasi comme une chasse au trésor à la conquête de prétendus nouveaux espaces francophones…
Que faisons-nous pour qu’ici, dans l’Hexagone, notre Langue, notre patrimoine culturel, historique et humaniste ne se perde pas ?
Force est de constater qu’ici ou là, pour bon nombre de nos compatriotes immigrés, parler le ‘’Français’’ n’est plus vraiment la priorité… Les familles défendent leurs langues d’origine, leurs patrimoines culturels et pas seulement dans les quartiers dits défavorisés…
Ce comportement louable certes, finit par affaiblir notre société, la rendre fragile et surtout malléable à souhait.
Avec tous les dangers de déstabilisation qui guettent notre société « France ». Car ce phénomène de repli sur soi, on le constate aussi au plus haut niveau social, où l’on voit les parents imposer à leurs enfants, quasi dès la naissance, de parler la langue dite ‘’maternelle’’. L’on n’est plus fier d’être Français, comme l’étaient nos grands-parents, nos parents… On ne consent plus à faire l’effort de s’approprier à son tour notre belle langue. Oui, l’on n’est plus fier d’être Français… Alors, ne soyons donc plus surpris si des extrémistes en font leur terreau pour asseoir leurs prétendues vérités.
Alors, comment faire bouger les choses ?
Pour moi les instances qui défendent la Francophonie sont inscrites dans une diplomatie supérieure, un fonds de commerce à promouvoir, nécessaire et indispensable, mais qui ne concerne qu’une élite… J’espère me tromper, mais je doute…
Où sont les actions, les événementiels qui pourraient rassembler ? Quand parle-t-on de la Francophonie ? Même pas le 20 Mars, jour de la Fête dans le Monde de la Francophonie… Bizarre quand même car des budgets importants sont confiés à ces instances…
J’ai, pour ma part, des propositions importantes à faire, toutes porteuses d’actions simples à engager, ici et là.
Bien entendu, le tout en partenariat, si elles le souhaitent, avec lesdites instances diplomatiques. Ne pas tirer la couverture à soi, car il est certain que si l’on conjugue nos efforts, on ne peut que gagner ici dans nos frontières et en dehors, car tout est lié.
Le Président de la République, Emmanuel Macron, l’a bien compris lui qui veut faire du français la première langue d'Afrique et du monde, comme il l’a défendu lors de son récent déplacement au Burkina Faso, devant les étudiants de l'université d’Ouagadougou.
Ce n’est pas un hasard s’il veut créer, avec Leïla Slimani, son ambassadrice pour la Francophonie, et l'Académie française, un dictionnaire de la francophonie.
Pour l’anecdote, c’est une proposition que je faisais aux plus hautes instances françaises, voilà plus de dix ans…
Oui, faire avancer, relever ce magnifique défi, ensemble en agissant au plus haut niveau de l’Etat et dans le même temps, par ricochet, ici et là, directement sur le terrain… et même dans les écoles dès la maternelle… Tel serait mon souhait…
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F.I.D. – ‘’Villa résidence’’ - 64 bis, rue Ernest Renan 31200 Toulouse
Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
Plan de Travail…
Actions envisagées…
Un rêve d’avance à partager…
Avec pour première mission
de faire en sorte que les Toulousains
s’approprient l’événement
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F.I.D. – ‘’Villa résidence’’ - 64 bis, rue Ernest Renan 31200 Toulouse
Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
Plan de Travail
et actions envisagées…
Dès 2019, il s’agit d’organiser dans la ville de Toulouse, « Le Mois de la Langue Française » et les 19-20-21-22 Mars 2019… un premier colloque sur la Francophonie, quasi un « Grenelle », qui verra intervenir, faire des propositions, certes des spécialistes du domaine, des personnalités reconnues sur les plans national et international…
Mais aussi, à cette occasion, de donner la parole à ces prétendues minorités, pour qu’elles nous fassent part de leurs approches du sujet, des handicaps rencontrés sur le terrain, des faiblesses constatées ici et là, dans leurs quotidiens.
Comme de leurs souhaits et leurs manières de s’engager à relever ce défi, en soutenant les initiatives que nous retiendrons, mais aussi en acceptant les leurs… Engager le dialogue…
Prévoir un lieu dans Toulouse où la Francophonie aurait sa vitrine, ses initiatives, ses animations culturelles, artistiques… ses soutiens sociaux. L’opportunité qui serait de faire connaître et mettre en valeur, des initiatives, des actions, des talents dans tous domaines.
Dès 2019, créer l’événement qui va fixer les objectifs, susciter les ambitions, engager les partenariats.
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En parallèle lancement du
« Mois de la Langue Française »
avec, dans Toulouse Métropole,
le parrainage de nombreuses animations
qui mettront en valeur notre Langue,
les Auteurs et les Artistes
qui l’honorent.
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Dès 2019, en parallèle du colloque qui ferait le constat, seront proposées :
« Les Olympiades de la Francophonie »
Avec la prise en compte de 4 Tremplins, mis stratégiquement en avant, afin d’encourager à aller vers l’Autre, à découvrir sa culture, à échanger, à partager et récompenser les meilleures initiatives.
Apprendre pour mieux connaître, comprendre et accepter ce que l’on doit à l‘Autre… Révéler des aptitudes, des talents, des ambitions…
Pour les Lauréats, la remise symbolique d’un titre distinctif: Ambassadeur dela Francophonie…
¤Premier Tremplin:celui du «Goût»avec la découverte de différentes cuisines. Aller à la rencontre des savoirs, des recettes, de la manière de faire, comme des ingrédients utilisés. Oui, apprendre à connaître lesdits ingrédients à travers leurs origines, leurs modes de production, leurs histoires, leurs apports en saveurs, en qualitésnutritives, leurs bienfaits pour la santé. Favoriser des vocations…
¤Deuxième Tremplin:celui de la «Culture»,le son, la voix, l’image, le dessin, la peinture, l’artisanat. Avec là aussi, le partage des connaissances et savoirs pour favoriser la rencontre et l’intérêt à tout savoir de l’Autre… pour mieux partager.
¤Troisième Tremplin:celui du «Sport»à travers différentes disciplines. Certes, apprendre à communier ensemble, à partager ses forces et ses talents. Accepter d’être adversaires le temps d’un match, pour mieux s’étoffer, grandir ensemble. Mais ne jamais devenir ennemis. Prendre pour exemple l’équipe de France «Black-Blanc-Beur» championne du monde de football qui est devenue en 1998 l’emblème de toute une Nation… Bis repetita placent en 2018 à Moscou.
¤Quatrième Tremplin:celui de la«Formation et de l’Emploi».Le défi qui me tient particulièrement à cœur de mener à bien, car essentiel à espérer le mieux vivre pour tous.Accepter que chacun existe à sa manière, avec sa façon d’être; que l’on a tout à gagner à mieux connaître l’Autre…
Mais aussi, dès la maternelle,insuffler cette idée de la grandeur de la France, faire comprendre que l’on a tout à gagner à mieux la connaître, l‘appréhender pour au final l’adopter…et en devenir son meilleur Ambassadeur…
Amener à la créationd’une Fondation…
Avec pour mission de faciliter la mise en avant d’une «Olympiade»desdéfis,qui serasoutenuepar de nombreux partenairesnationaux et internationaux,institutionnels ou privés.
Des instances prêtes, le moment venu, à favoriser les conditions de «Tremplins»,de relais indispensablesà la prise de conscience et de responsabilité des différents acteurs en présence.
Oui, Madame, Monsieur, Chers Amis, avec votre soutien, le soutien de la ville de Toulouse et des instances, publiques et privées, départementales, régionales voire nationales,nous pouvons relever ce défi de la Francophonie, ciment de toutes nos actions.
Mais aussi, sous votre égide,créer un challenge «inter-quartiers» pour engager là aussi, le défi de l’excellence etde la réussite, construire l’échange, le partage permanent…La prise de conscience que l’on n’est rien sans le regard de l’autre.
Oui, une idée que j’aimerais mener avec votre soutien.
Je suis bien entendu à votre entière disposition pour, développer auprès de vous et de vos instancesles conditions de partenariats idéales pour faciliter les échanges comme la mise en valeur de vos Institutions, auprès du plus grand nombre.
Engager les modalités d’une belle collaboration ‘’gagnant/gagnant’’,afin de faire de cet événementiel qui me tient tant à cœurde réaliser, une date incontournable qui marquera la Francophonieet l’avenir de notre Villecomme de notre Région….
Dans l’attente d’une rencontre, Madame, Monsieur, Chers Amis, veuillez agréer l’expression de mes sincères et cordiales salutations.
André-Jérôme Gallego
Président de la F.I.D.
Les Résonances Francophones?
Simplement créer l’énergie qui va fédérer les idées, motiver les actions, sensibiliser le plus grand nombre d’entre nous à partager un destin dans lequel nous sommes, à l’évidence, tous inscrits…
*
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‘’Non !
S’engager pour la langue française
n’est pas un combat d’arrière-garde !
C’est au contraire une cause juste et moderne
qui ne sera définitivement perdue
que lorsque tous ceux qui doivent la défendre
l’auront abandonnée.
Alors agissons !’’
Dominique Hoppe

Et   si vous désirez le dossier officiel nous contacter   Merci
 
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* * *
‘’ Ma Patrie c’est la langue Française’’
Albert Camus - Prix Nobel de Littérature (1957)
F.I.D. – ‘’Villa résidence’’ 64 bis, rue Ernest Renan 31200 Toulouse
 L’événement National
Les 19-20-21-22Mars 2019
‘’ Ma Patrie c’est la langue Française’’
Albert Camus
Prix Nobel de Littérature (1957)
France International Développement
présente les…
Une identité à défendre…
Un rêve d’avance à partager
Celui qui voyage sans rencontrer l’Autre…
Ne voyage pas, il se déplace.
André-Jérôme Gallego
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F.I.D. – ‘’Villa résidence’’ 64 bis, rue Ernest Renan 31200 Toulouse
Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
André-Jérôme GALLEGO
Villa Résidence 64 bis, rue Ernest Renan - 31200 Toulouse
Tél. : 06.89.82.02.27 - e-mail : francois.de.galice@aol.fr
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La Francophonie
«Une identité à défendre»
Madame, Monsieur,
A contre-courant de la vox-populi, je suis de ceux qui prétendent que « Migrer » est un droit naturel et fondamental, dans la vie d’un Homme. Mais à la condition de respecter les us et coutumes du pays qui assure l’accueil et donne l’espoir de mieux-vivre en paix et en toute sécurité. Apprendre sa langue est le premier outil…
Je suis un enfant de la Méditerranée, dont le coeur vacille entre toutes les origines qui font ce « bassin » aux identités diverses, aux caractères multiples et forts, aux savoirs qui ont fait les valeurs et les forces de ce Monde. Un homme de terrain qui arrive au terme de sa vie et sait le Monde d’aujourd’hui en perte de valeurs humaines, de valeurs fortes, d’une identité. Un Monde en quête de son destin…
Un homme d’expérience, conscient aussi que la moindre erreur de l’un de nos dirigeants politiques peut déclencher demain une troisième guerre mondiale.
Un acteur de la vie, humaniste reconnu, qui sait, pour l’avoir exprimé ici et là, que la Francophonie peut devenir demain l’élément révélateur d’une appartenance commune, le porte-drapeau d’un idéal fort fait d’un patrimoine culturel et historique à promouvoir et à défendre. Oui, une identité à préserver coûte que coûte autour d’une langue, le français, exprimée, à travers le Monde, par près de 300 millions d’âmes, sur les 5 Continents et dans plus de 30 pays.
La ville de Toulouse peut en être, chaque année, le phare, l’étendard derrière lequel peuvent s’annoncer les meilleures initiatives, prendre racine les plus fortes idées.
Pourquoi Toulouse ?
Pas simplement parce qu’elle est ma ville… Mais aussi et surtout parce qu’au fil des décennies, elle est devenue le carrefour où se sont retrouvées avec harmonie bon nombre d’immigrations. Hier, elles étaient Espagnoles, Italiennes, Arméniennes, Portugaises, Pieds noirs, Harkis, Polonaises, Britanniques, Allemandes, Grecques, Asiatiques, Roumaines… etc… Aujourd’hui en grand nombre Africaines…
Hier, des milliers d’hommes, de femmes, d’enfants, de toutes origines, de toutes confessions fuyaient les guerres, la famine, la maltraitance dans leurs propres pays d’origines…
Aujourd’hui, ce sont toujours les mêmes maux qui engagent à devenir apatride. Sans oublier la vie professionnelle qui impose, comme naguère, de s’installer où le mieux vivre est assuré.
Où est ma légitimité ?…
… Pour défendre un tel projet, relever un tel défi ? Celui de mettre au service des autres un idéal, une identité à défendre qui a animé toute ma vie active et continue à être pour moi une motivation de premier ordre. Oui, un rêve à partager, que je mène depuis toujours, ici et là, dans le Monde, avec à la clef différentes actions à dimensions humaines, culturelles, économiques et sociales, mais obligatoirement francophones, car tel est mon idéal et mon savoir.
J’aipour seul objectif de faire prendre conscience à nos contemporains,notamment à celles et ceux issus de l’immigration,de s’imprégner avec honneur de cette belle idée dont chacun se doit d’être l’ambassadeur: La Francophonie.
Car elle est, au-delà même de la langue, le français, le lien, le ciment porteur de valeurs de respect, de partage, de sagesse et de liberté que l’on se doit de défendre et de valoriser en permanence.
Ainsi ma sociétéF.I.D.«France International Développement»commemon «Association France Génération Plurielle» que je préside depuis plusieurs années, en sont lesrelais indispensablespour soutenir, ici et là, des actions à vocationscaritatives et promotionnelles pour notre pays et les pays affiliés à la Francophonie.
Avec notamment dans les années 90,la réalisation du SIACAM, Salon International des Arts et Cultures Méditerranéennes,en Egypte à Alexandrie… Ici,lacréation d’une ferme modèle, animée par des enfants handicapés. Là,un hôpital à équiper, ailleurs soutien d’une entreprise animée, là aussi, par de jeunes handicapés.En Afrique, en Asie, en Europe de l’Estet ailleurs,des donsde médicaments,de livres, de vêtements, de jouets, des soutiens en formationsprofessionnelles, des expositions, des partenariats économiques,etcetera…
Antoine de Saint Exupéry…
… Il sera la personnalité qui, lors de ces « Premières Résonances Francophones » sera mise à l’honneur, à travers quelques « Tables Rondes ». L’occasion aussi de fêter les 75 ans de la première édition du « Petit Prince ». A ce jour, le livre qui est le plus lu et le plus traduit dans le monde.
Madame, Monsieur, dans l’attente de vous de vous lire, je vous prie de croire en l’expression de mes sincères salutations.
André-Jérôme GALLEGO
Président
France International Développement
Les "Résonances Francophones"
Ce que je peux en dire aujourd'hui, tourne autour d’un souhait de toujours : celui d'essayer de mettre en place la réflexion de l'homme de terrain, que je suis… de l’Humaniste que j’essaie d’être, habitué à aller au-devant de l'Autre, pour essayer de défendre ce patrimoine unique que nous envient tant de Nations… Mais pas seulement…
… Mettre en avant et défendre un ressenti personnel qui voudrait que justement la Francophonie soit le ciment naturel qui relierait ici et là, certes dans le monde, des Femmes et des Hommes de bonnes volontés, mais aussi et surtout dans nos quartiers ferait prendre conscience d’un patrimoine culturel, historique et humaniste à préserver.
Une Langue à défendre, synonyme d’intégration, à mettre en évidence dans toutes nos initiatives. Car par nature, elle est la force principale à toute énergie nouvelle. Tout faire pour rassembler des hommes et des femmes autour de valeurs culturelles et humanistes, à promouvoir et à défendre, afin que la paix soit enfin parmi les Hommes… Que chacun devienne ici en nos frontières comme à l’extérieur, tout en restant dans le respect de l’Autre, le porte-drapeau, le premier défenseur de toutes ces valeurs, de cette identité.
Plus sûrement le rêve d’un homme de réflexion et de paix qui sait… qu’aujourd’hui, nos instances supérieures souhaiteraient soit nous faire entrer dans un ‘’universalisme’’ qui ferait qu’aucune origine ne serait porteuse de sens de valeurs, de forces intimes, de patrimoine à défendre… Un troupeau de moutons, quoi…
De l’autre, les défenseurs d’un ‘’particularisme’’ qui proposeraient au contraire de faire ressortir coûte que coûte les origines, les différences, les croyances etc… Pour autant de dangers de conflits, à l’état latent, qui ne manqueraient pas de nous menacer si on laissait faire les stratégies politiques, économiques ou les états d’âme des uns et des autres…
L’homme qui sait aussi… que s’il suffisait d’un baptême, d’une initiation voire d’une adhésion à la bibliothèque du quartier pour faire un Homme, cela se saurait. Il y a des êtres rares partout dans le Monde, au milieu d’autres ‘’peu recommandables’’ aussi… Encore faut-il faire reconnaître et valoriser les uns, comme dénoncer et lutter contre les autres. La Francophonie a un rôle à jouer, là aussi…
Les larmes d’un enfant de Toulouse, ne valent pas plus que les larmes d’un enfant du Sahel, d’Irak, de Lybie, de Syrie ou d’ailleurs…
Ne pas oublier quand même…
… Qu’il est une règle incontournable et quel que soit le domaine abordé. A savoir que si l’on veut concerner le plus grand nombre, avoir un espoir d’être écouté, suivi, il ne faut pas parler de projets pharaoniques ou de réussites reconnues à l’autre bout de la Planète…
Mais argumenter auprès de ces femmes, de ces hommes, de ces gamins, à partir d’éléments, de faits qui les concernent dans leurs quotidiens, leurs quartiers, leurs manières de vivre.
Oui, si l’on a le souhait d’engager le partage avec l’Autre, l’ambition de parvenir à changer ses repères, sa manière d’être, d’agir, son comportement dans telle ou telle circonstance, annihiler ses réserves, chasser les vieux démons, il faut proposer du concret, quasi applicable dans l’immédiat et qui va concerner le plus grand nombre.
Favoriser les uns et les autres, à s’ouvrir à la vraie vie : en pleine conscience et responsabilité… Démontrer qu’ils ont tout à gagner à tout savoir de notre pays, à apprendre notre belle langue, à tout connaître de celles et ceux qui ont fait le pays qui leur a ouvert les bras, sans aucune réserve. Une identité ne se donne pas. Elle se gagne…
Plus, leur faire prendre conscience qu’un jour prochain, ce savoir, ce capital culturel, technique, scientifique pourrait demain leur permettre justement de saisir une revanche sur le destin et d’avoir l’opportunité de s’épanouir dans leurs propres pays d’origine… Etre des exemples dans notre pays, comme pour leurs Frères restés au pays… Oui, les meilleurs Ambassadeurs que la France pourrait compter demain…
Oui, une prise de conscience, un épanouissement, synonymes tout simplement de respect et d’exemplarité auprès de l’Autre.
Mon constat, mon analyse… aussi
Ils sont qu’aujourd’hui si l’on prône et défend la Francophonie, ici ou là dans le monde, quasi comme une chasse au trésor à la conquête de prétendus nouveaux espaces francophones…
Que faisons-nous pour qu’ici, dans l’Hexagone, notre Langue, notre patrimoine culturel, historique et humaniste ne se perde pas ?
Force est de constater qu’ici ou là, pour bon nombre de nos compatriotes immigrés, parler le ‘’Français’’ n’est plus vraiment la priorité… Les familles défendent leurs langues d’origine, leurs patrimoines culturels et pas seulement dans les quartiers dits défavorisés…
Ce comportement louable certes, finit par affaiblir notre société, la rendre fragile et surtout malléable à souhait.
Avec tous les dangers de déstabilisation qui guettent notre société « France ». Car ce phénomène de repli sur soi, on le constate aussi au plus haut niveau social, où l’on voit les parents imposer à leurs enfants, quasi dès la naissance, de parler la langue dite ‘’maternelle’’. L’on n’est plus fier d’être Français, comme l’étaient nos grands-parents, nos parents… On ne consent plus à faire l’effort de s’approprier à son tour notre belle langue. Oui, l’on n’est plus fier d’être Français… Alors, ne soyons donc plus surpris si des extrémistes en font leur terreau pour asseoir leurs prétendues vérités.
Alors, comment faire bouger les choses ?
Pour moi les instances qui défendent la Francophonie sont inscrites dans une diplomatie supérieure, un fonds de commerce à promouvoir, nécessaire et indispensable, mais qui ne concerne qu’une élite… J’espère me tromper, mais je doute…
Où sont les actions, les événementiels qui pourraient rassembler ? Quand parle-t-on de la Francophonie ? Même pas le 20 Mars, jour de la Fête dans le Monde de la Francophonie… Bizarre quand même car des budgets importants sont confiés à ces instances…
J’ai, pour ma part, des propositions importantes à faire, toutes porteuses d’actions simples à engager, ici et là.
Bien entendu, le tout en partenariat, si elles le souhaitent, avec lesdites instances diplomatiques. Ne pas tirer la couverture à soi, car il est certain que si l’on conjugue nos efforts, on ne peut que gagner ici dans nos frontières et en dehors, car tout est lié.
Le Président de la République, Emmanuel Macron, l’a bien compris lui qui veut faire du français la première langue d'Afrique et du monde, comme il l’a défendu lors de son récent déplacement au Burkina Faso, devant les étudiants de l'université d’Ouagadougou.
Ce n’est pas un hasard s’il veut créer, avec Leïla Slimani, son ambassadrice pour la Francophonie, et l'Académie française, un dictionnaire de la francophonie.
Pour l’anecdote, c’est une proposition que je faisais aux plus hautes instances françaises, voilà plus de dix ans…
Oui, faire avancer, relever ce magnifique défi, ensemble en agissant au plus haut niveau de l’Etat et dans le même temps, par ricochet, ici et là, directement sur le terrain… et même dans les écoles dès la maternelle… Tel serait mon souhait…
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Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
Plan de Travail…
Actions envisagées…
Un rêve d’avance à partager…
Avec pour première mission
de faire en sorte que les Toulousains
s’approprient l’événement
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Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
Plan de Travail
et actions envisagées…
Dès 2019, il s’agit d’organiser dans la ville de Toulouse, « Le Mois de la Langue Française » et les 19-20-21-22 Mars 2019… un premier colloque sur la Francophonie, quasi un « Grenelle », qui verra intervenir, faire des propositions, certes des spécialistes du domaine, des personnalités reconnues sur les plans national et international…
Mais aussi, à cette occasion, de donner la parole à ces prétendues minorités, pour qu’elles nous fassent part de leurs approches du sujet, des handicaps rencontrés sur le terrain, des faiblesses constatées ici et là, dans leurs quotidiens.
Comme de leurs souhaits et leurs manières de s’engager à relever ce défi, en soutenant les initiatives que nous retiendrons, mais aussi en acceptant les leurs… Engager le dialogue…
Prévoir un lieu dans Toulouse où la Francophonie aurait sa vitrine, ses initiatives, ses animations culturelles, artistiques… ses soutiens sociaux. L’opportunité qui serait de faire connaître et mettre en valeur, des initiatives, des actions, des talents dans tous domaines.
Dès 2019, créer l’événement qui va fixer les objectifs, susciter les ambitions, engager les partenariats.
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En parallèle lancement du
« Mois de la Langue Française »
avec, dans Toulouse Métropole,
le parrainage de nombreuses animations
qui mettront en valeur notre Langue,
les Auteurs et les Artistes
qui l’honorent.
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Dès 2019, en parallèle du colloque qui ferait le constat, seront proposées :
« Les Olympiades de la Francophonie »
Avec la prise en compte de 4 Tremplins, mis stratégiquement en avant, afin d’encourager à aller vers l’Autre, à découvrir sa culture, à échanger, à partager et récompenser les meilleures initiatives.
Apprendre pour mieux connaître, comprendre et accepter ce que l’on doit à l‘Autre… Révéler des aptitudes, des talents, des ambitions…
Pour les Lauréats, la remise symbolique d’un titre distinctif: Ambassadeur dela Francophonie…
¤Premier Tremplin:celui du «Goût»avec la découverte de différentes cuisines. Aller à la rencontre des savoirs, des recettes, de la manière de faire, comme des ingrédients utilisés. Oui, apprendre à connaître lesdits ingrédients à travers leurs origines, leurs modes de production, leurs histoires, leurs apports en saveurs, en qualitésnutritives, leurs bienfaits pour la santé. Favoriser des vocations…
¤Deuxième Tremplin:celui de la «Culture»,le son, la voix, l’image, le dessin, la peinture, l’artisanat. Avec là aussi, le partage des connaissances et savoirs pour favoriser la rencontre et l’intérêt à tout savoir de l’Autre… pour mieux partager.
¤Troisième Tremplin:celui du «Sport»à travers différentes disciplines. Certes, apprendre à communier ensemble, à partager ses forces et ses talents. Accepter d’être adversaires le temps d’un match, pour mieux s’étoffer, grandir ensemble. Mais ne jamais devenir ennemis. Prendre pour exemple l’équipe de France «Black-Blanc-Beur» championne du monde de football qui est devenue en 1998 l’emblème de toute une Nation… Bis repetita placent en 2018 à Moscou.
¤Quatrième Tremplin:celui de la«Formation et de l’Emploi».Le défi qui me tient particulièrement à cœur de mener à bien, car essentiel à espérer le mieux vivre pour tous.Accepter que chacun existe à sa manière, avec sa façon d’être; que l’on a tout à gagner à mieux connaître l’Autre…
Mais aussi, dès la maternelle,insuffler cette idée de la grandeur de la France, faire comprendre que l’on a tout à gagner à mieux la connaître, l‘appréhender pour au final l’adopter…et en devenir son meilleur Ambassadeur…
Amener à la créationd’une Fondation…
Avec pour mission de faciliter la mise en avant d’une «Olympiade»desdéfis,qui serasoutenuepar de nombreux partenairesnationaux et internationaux,institutionnels ou privés.
Des instances prêtes, le moment venu, à favoriser les conditions de «Tremplins»,de relais indispensablesà la prise de conscience et de responsabilité des différents acteurs en présence.
Oui, Madame, Monsieur, Chers Amis, avec votre soutien, le soutien de la ville de Toulouse et des instances, publiques et privées, départementales, régionales voire nationales,nous pouvons relever ce défi de la Francophonie, ciment de toutes nos actions.
Mais aussi, sous votre égide,créer un challenge «inter-quartiers» pour engager là aussi, le défi de l’excellence etde la réussite, construire l’échange, le partage permanent…La prise de conscience que l’on n’est rien sans le regard de l’autre.
Oui, une idée que j’aimerais mener avec votre soutien.
Je suis bien entendu à votre entière disposition pour, développer auprès de vous et de vos instancesles conditions de partenariats idéales pour faciliter les échanges comme la mise en valeur de vos Institutions, auprès du plus grand nombre.
Engager les modalités d’une belle collaboration ‘’gagnant/gagnant’’,afin de faire de cet événementiel qui me tient tant à cœurde réaliser, une date incontournable qui marquera la Francophonieet l’avenir de notre Villecomme de notre Région….
Dans l’attente d’une rencontre, Madame, Monsieur, Chers Amis, veuillez agréer l’expression de mes sincères et cordiales salutations.
André-Jérôme Gallego
Président de la F.I.D.
Les Résonances Francophones?
Simplement créer l’énergie qui va fédérer les idées, motiver les actions, sensibiliser le plus grand nombre d’entre nous à partager un destin dans lequel nous sommes, à l’évidence, tous inscrits…
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‘’Non !
S’engager pour la langue française
n’est pas un combat d’arrière-garde !
C’est au contraire une cause juste et moderne
qui ne sera définitivement perdue
que lorsque tous ceux qui doivent la défendre
l’auront abandonnée.
Alors agissons !’’
Dominique Hoppe

Et   si vous désirez le dossier officiel nous contacter   Merci
 
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Tél. 06.89.82.02.27 – e-mail : francois.de.galice@aol.fr
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